Qu'est-ce qui m'inspire ?
Le roman que j'écris présentement est le résultat de rêves, portraits, illustrations, sculptures, musiques, citations, romans... vus, lus et écoutés ces derniers mois.
Je me suis dit que ce serait une bonne idée de vous montrer certaines sources d'inspirations, celles qui ont le plus influencer le déroulement de mon roman.
Commencons par le début : le titre.
J'ai changé de titre plusieurs fois. D'abord Le Vitrail, ensuite Coule le sang sur un vitrail, puis L'Enfant du monstre, jusqu'à découvrir, comme par magie, LE titre.
Coupez en deux l'enfant qui vit.
D'où ça sort ?
De la Bible.
Je vous offre un extrait, trouvé sur Wikipédia, qui explique la nature de cette phrase macabre.
"La grande scène située en-dessous a pour thème le jugement de Salomon (1er Livre des Rois, 3, 16-28) : Alors deux femmes prostituées vinrent chez le roi, et se présentèrent devant lui. Les deux femmes ayant accouché à quelques jours de différence, un des enfants vint à mourir. Chacune des femmes déclare que l'enfant survivant est le sien. Le roi dit alors Apportez-moi une épée ... Coupez en deux l'enfant qui vit, et donnez-en la moitié à l'une et la moitié à l'autre. Un soldat prend l'enfant et tire son épée pour partager l'enfant. La vraie mère se prosterne alors devant le roi et lui dit Ah ! mon seigneur, donnez-lui l'enfant qui vit, et ne le faites point mourir. Mais l'autre dit : Il ne sera ni à moi ni à toi : coupez-le !. Le roi prit alors la parole : Donnez à la première l'enfant qui vit, et ne le faites point mourir. C'est elle qui est sa mère."
Le contexte n'a rien à voir avec ce que j'écris. Mais la fameuse phrase, prise individuellement, englobe une grande partie de l'intrigue.
Comment suis-je tombée là-dessus ?
Je n'en ai aucune espèce d'idée.
Mais je suis fichtrement contente. J'ai mon titre !
1 commentaire:
C'est bien tu as repris
j'en suis heureux, tu sais mon attachement princesse de l'autre côté du monde
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